• 2017

  • PSN
    Après quatre années passées à la tête du groupe socialiste au Grand Conseil (2013-2017), la députée Martine Docourt Ducommun a remis jeudi son mandat de présidente lors de la première séance de préparation de la nouvelle législature. A cette occasion, les députés socialistes ont choisi le député Baptiste Hurni, président de la section de la Ville de Neuchâtel, pour succéder à la présidente de la commission environnement du PSN. Continuer
  • Jean-Paul Ros, Président de la commission juridique du PSN
    Le Palais de Justice de Bruxelles (1883) est plus vaste que Saint-Pierre de Rome. Faute d’entretien et d’adéquation aux exigences d’une justice moderne, ce colosse néo-antique alliant architecture fantasque et démesure est aux trois quarts vide : les juridictions bruxelloises ont trouvé plus d’aise dans moins de fastes. Des arbustes poussent sur les colonnades ; les seules réfections ont touché… ses échafaudages ! Ce monstre orgueilleux et malade inspire un sentiment mêlant post-apocalypse et ex-impérialisme. L’édifice devait symboliser l’indépendance de la Justice aux yeux d’un peuple sujet d’une monarchie jadis forte. Un triomphalisme excessif l’a rendu inapproprié et inadapté. Deux qualificatifs qui s’appliquent en ce moment aussi – par une symétrie inverse – aux sites qui abritent les juridictions neuchâteloises. Locaux surannés, exigus, mal voire pas sécurisés, à l’isolation phonique médiocre, n’autorisant pas la moindre intimité des échanges, ni l’évitement des contacts. Continuer
  • Corine Bolay Mercier, Antoine de Montmollin
    A chaque élection, la même mise en scène. Les mêmes passes d’armes. Notre parti, durant ces cantonales, a été au centre des attaques. Avec ses 3 ministres à la tête de l’État, il était tantôt trop à droite, tantôt trop à gauche, en somme trop tout et trop rien… Quand certains accusaient notre parti de mener une politique de centre droit et de favoriser l’émergence forte de l’extrême droite, d’autres le qualifiaient d’irresponsable parce qu’il se prononçait sur le dossier hospitalier. La plupart des observateurs s’accordaient enfin sur un point : le PSN allait subir un échec électoral cuisant… Lorsque nous annoncions vouloir, avec les partis apparentés, reconquérir la double majorité, les sourires en coin nous renvoyaient l’image au mieux de doux rêveurs, au pire de naïfs invétérés. Continuer
  • Corine Bolay Mercier, présidente du PSN
    Deux années se sont écoulées depuis que Silvia m’a transmis le flambeau à la tête de notre parti. Deux années durant lesquelles j’ai pu observer aux premières loges à quel point le lien qui unit le citoyen à l’État est essentiel. Essentiel non seulement car c’est à l’État qu’il revient de fournir les repères pour créer un sentiment d’appartenance à la collectivité mais aussi parce qu’il lui incombe d’accompagner la construction et le renforcement du vivre-ensemble. Essentiel enfin par le rôle que l’État doit tenir auprès des personnes fragilisées. Continuer
  • Antoine de Montmollin
    Après deux années à la tête du PSN, notre camarade Corine s’apprête à passer le témoin. L’occasion pour moi, pour nous, de lui adresser quelques mots de remerciements. Le rôle de présidente ou de président du PSN est endossé de manière variée. De celui ou celle qui court les médias dans la cour du Château à ceux qui préfèrent les dossiers et notre secrétariat cantonal, chacun s’affirme à ce poste selon sa personnalité. Chacun fixe également des priorités pour son mandat : profiler notre parti sur certains sujets, le rendre plus visible ou encore accroître le nombre de membres. Au-delà de ces caractéristiques et envies personnelles, le contexte politique cantonal influe grandement sur le mandat. Continuer
  • Monika Maire-Hefti, conseillère d'Etat
    Ton empathie, ta sensibilité, ton sens des responsabilités et ta fermeté ont permis de nourrir la réflexion et l’action politique de notre parti et de les teinter de rouge, d’orange, de jaune, de bleu, d’indigo et de violet !  Rouge comme la passion qui t’anime pour changer le monde, ou du m Continuer
  • Raymond Spira
    Le 3 février 1917, La Sentinelle publie un article non signé, intitulé « Comment on traite nos soldats », dont l’auteur raconte, d’après la relation que lui en a faite « une brave mère de famille, toute bouleversée par la grosse émotion qu’elle avait éprouvée », la mésaventure survenue quelques jours auparavant à un jeune soldat de 21 ans, « très robuste » et n’ayant jamais faibli durant les huit mois de service accomplis en 1916 – on était en période de mobilisation de guerre – lors d’une marche entre Colombier et Bienne. Selon ce récit, le malheureux fantassin, épuisé au point de ne plus pouvoir avancer, avait été forcé de poursuivre la course attaché par les mains à la selle du cheval de son capitaine. À bout de forces, il avait été hospitalisé d’urgence à l’hôpital de Bienne, où ses parents, alertés par des particuliers, avaient pu lui rendre visite et le réconforter. S’estimant calomniés par ce récit, les supérieurs du fusilier portèrent plainte contre Paul Graber (1875-1956), rédacteur responsable du quotidien socialiste. L’affaire est rondement menée par la justice militaire et le 16 mars, siégeant à Porrentruy, le Tribunal territorial 2 condamne le conseiller national socialiste à huit jours d’emprisonnement pour atteinte à l’honneur des officiers du Bataillon 19, mis en cause dans l’article. Continuer
  • Nicole Humbert-Droz, présidente PS La Grande Béroche
    Liberté, justice, solidarité trônent au frontispice du Parti socialiste. Pour une section locale, dans une nouvelle commune en construction, comment incarner ces valeurs ?  La liberté, c’est permettre à chacun de mener sa vie en fonction de ses goûts et de ses compétences. Continuer
  • Le PS Boudry est présidé par Marie-José Weber Continuer
  • Baptiste Hurni, député
    Signez les deux référendums ici Continuer
  • Didier Berberat, conseiller aux États
    Le 21 mai, nous voterons sur la nouvelle Stratégie énergétique de la Confédération (SE2050), suite à un référendum de l’UDC. À n’en point douter, cet objet est, avec la réforme de la Prévoyance 2020, le plus important de la législature fédérale 2015-2019. Pour concrétiser la SE2050, le Parlement, après de très longues discussions, a procédé à une révision totale de la loi sur l’énergie et prévu de nombreuses mesures. Sur certains points, le paquet été renforcé par rapport à la proposition du Conseil fédéral ; sur d’autres, il a été affaibli. Il a fallu faire des compromis, dans une logique constructive, et le groupe socialiste a soutenu le projet sans réserve. Continuer
  • PSN
    La réélection de trois ministres socialistes au Conseil d’État est un signal fort. Le signal que si les difficultés rencontrées par notre canton sont bien réelles, les solutions apportées doivent elles aussi être bien tangibles. Les Neuchâteloises et les Neuchâtelois attendent de leurs autorités qu’elles construisent. En ce sens, le renforcement de la gauche au parlement doit permettre à la majorité socialiste du Conseil d’État de poursuivre son travail en s’appuyant sur un socle parlementaire élargi. La progression des Verts et de solidaritéS au sein de l’apparentement de gauche est le juste reflet de la diversité qui fait la force d’une gauche progressiste. Le PSN aura à cœur de travailler avec ses partenaires pour que les résultats de dimanche se concrétisent sous la forme de résultats positifs pour le canton et sa population. Continuer
  • PSN
    La CCT Santé 21 aurait-elle vécu ? C’est ce qu’a décidé la majorité de droite du Grand Conseil, le 27 mars. De la concertation entre partenaires sociaux, du sort de plus de 5000 salariés, de l’avenir des petites mains de la santé ou des conclusions d’un rapport qu’elle avait réclamé, la droite se moque. Du climat délétère que va provoquer sa décision, également. De la santé, la droite ne veut entendre que les chiffres ronflants des bénéfices qui s’accumulent chez ses partenaires, cliniques privées ou assureurs maladie. Mais, le Parti socialiste neuchâtelois en est convaincu, les Neuchâteloises et les Neuchâtelois ne sont pas prêts à se laisser vider les poches sans sourciller, ni à mettre la paix du travail en péril pour des intérêts privés. Le PSN s’engagera donc aux côtés des syndicats dans la récolte des signatures nécessaires pour que la population exprime son point de vue. Continuer
  • PSN
    Quatre ans. C’est le temps qu’il aura fallu au Parti libéral-radical pour s’apercevoir que le Conseil d’Etat, qui accueille deux de ses membres, comporte trois socialistes. Trois socialistes qui se sont attelés à agir, malgré une conjoncture difficile et un parlement de droite, mais qui ont aussi travaillé à faire oublier la législature précédente. Une législature 2009-2013 durant laquelle les ministres PLR – quatre en quatre ans – ont détenu la majorité, mais aussi la palme de l’individualisme et les Unes de la presse de boulevard… Une majorité dont le PLR est visiblement nostalgique. Continuer
  • PSN
    Seule une double majorité de gauche permettra de mettre en œuvre les projets de justice sociale, de développement durable et de solidarité que porte la gauche. Si tous les partis et candidats de gauche mettent la même ardeur à s’attaquer au bilan de la droite que certains mettent à cibler les élus socialistes du Conseil d’Etat, nous ne doutons pas que nous parviendrons à la double majorité le 2 avril. Continuer